A thing of beauty is a joy for ever : its lovelyness increases, it will never pass into nothingness, but still will keep a bower quiet for us, and a sleep full of sweet dreams and health, and quiet wreathing. John KEATS
17 février 2018
16 février 2018
Un carnaval vénitien un rien malicieux !
Bridge ou belote ou tarot ?
Coucou !
De bouts de ficelles... de stock de cravates...
La danse du diablotin...
Le caddy à malices ?
Ce n'est que le petit bout de la queue du chat ?
Un loup ? deux loups ? deux petits chiens à ses...
Le chat botté ?
Drôles de frimousses
Drôles d'oiseaux !
Tenue parasole !
Tenues militaires
Sécurité ?
Spritz toujours
Allez on rentre...
Lendemain de fête
15 février 2018
Un carnaval Vénitien.
Une parenthèse, deux guillemets d'une fin de semaine décidés à brûle-pourpoint, comme une litote, presque sur la pointe des pieds, partir là-bas après bien des dénigrements, des moues effarouchées, partir à Venise au temps du carnaval...
J'ai repris mon vieux Verlaine endormi dans son cuir plus sombre que les canaux, mon âme serait-elle...
un paysage choisi
Que vont charmant masques et Bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Oublié les conseils de Baudelaire ...
Pendant que de mortels la multitude vile,
Sous le fouet du plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici,
Loins d'eux...
Partons pour les Fêtes galantes...
Do, mi, sol, mi, fa,
Tout ce monde va,
Rit, chante
Et danse devant
Une belle enfant
Méchante
Dont les yeux pervers
Comme les yeux verts
Des chattes
Gardent ses appas.
Partons pour Venise au temps du carnaval...
Fardée et peinte comme au temps des bergeries,
Frèle parmi les noeuds énormes des rubans,
Elle passe, sous les ramures assombries...
Eux ils vont toujours !
Fatidiques cours
Des astres,
Oh ! dis-moi vers quels
Mornes ou cruels
Désastres...
J'ai repris mon vieux Verlaine endormi dans son cuir plus sombre que les canaux, mon âme serait-elle...
un paysage choisi
Que vont charmant masques et Bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Oublié les conseils de Baudelaire ...
Pendant que de mortels la multitude vile,
Sous le fouet du plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici,
Loins d'eux...
Partons pour les Fêtes galantes...
Do, mi, sol, mi, fa,
Tout ce monde va,
Rit, chante
Et danse devant
Une belle enfant
Méchante
Dont les yeux pervers
Comme les yeux verts
Des chattes
Gardent ses appas.
Partons pour Venise au temps du carnaval...
Fardée et peinte comme au temps des bergeries,
Frèle parmi les noeuds énormes des rubans,
Elle passe, sous les ramures assombries...
Fatidiques cours
Des astres,
Oh ! dis-moi vers quels
Mornes ou cruels
Désastres...
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