
A thing of beauty is a joy for ever : its lovelyness increases, it will never pass into nothingness, but still will keep a bower quiet for us, and a sleep full of sweet dreams and health, and quiet wreathing. John KEATS
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23 octobre 2013
Quand l'été joue des bis.
C'était il y a quelques semaines, une escapade au bassin d'Arcachon. Deux jours au Ferret avec baignade à l'océan et repas d'huitres devant les parcs... a consommer sans la moindre modération.
Etonnant et pourtant vrai, mon dernier séjour datait de... et nous étions rentrés en solex... un bon 150km. Alors en quelle année ?


2 janvier 2013
Finir et commencer en beauté.
La voila telle qu'en elle même sa joie de vivre éclate plus brillante que jamais, plus facile à photographier qu'à Toulouse nous rappelant les joies de ce merveilleux concert du 18 décembre.
Puis si je n'ai écouté que d'une oreille distraite les traditionnelles valses du concert du nouvel an viennois j'ai beaucoup aimé la très belle retransmission du concert de la Fénice, une autre réminiscence de notre voyage d'octobre. profitez-en il n'est visible que pendant une semaine via Arte 7 .
2 novembre 2011
Histoires d'eau.
16 juillet 2011
G. comme Génin
Il en parlait si bien que nous avons succombé, oui, un voyage à Paris avec deux objectifs apriori antinomiques, l'Olympia de Monsieur Manet et le millefeuilles de Monsieur Génin il y aurait aussi le déjeuner sur l'herbe et la serveuse de bock, l'union n'était donc pas contre-nature. Partis de banlieue via le RER, nous devions, dans cette visite éclair d'une journée, nous rassasier de peinture et savourer la fameuse création du maître pâtissier. Un constat tout d'abord, je ne m'étais jamais rendu compte à quel point Paris est une fourmilière, la vie aux abords d'un village de 300 âmes ne prédispose pas à la navigation dans les entrailles de la station les Halles point de départ de notre brève journée où nous débarquâmes à onze heures. Tranquillement nous gagnons le Louvre, nous avions deux bonnes heures devant nous alors pourquoi ne pas aller voir "Rembrandt et la figure du Christ" qu'ELLE évoque en précisant le peu de fréquentation, mais il faut entrer au Musée, côté Pyramide une queue rédhibitoire idem par l'entrée Rivoli. Nous étions désappointés. Midi approchant et le chocolat étant un bon remède au stress qui nous gagnait nous nous engouffrons dans la boutique de la maison du chocolat sise au carrousel puis nous gagnons les jardins des Tuileries pour une dégustation d'éclairs : chocolat noir, caramel, café. Comme ces petites choses peuvent être exquises dans la simplicité du duo crème pâtissière incomparablement onctueuse et néanmoins légère et le moelleux tout en finesse de la pâte à choux, aucune dissonance dans cette partition, quant aux parfums des crèmes une symphonie en gouts majeurs.
C'est sur un petit nuage que nous gagnons le Musée d'Orsay où, pendant plus de deux heures nous fumes au paradis. Comment résumer ce plaisir de découvrir ou revoir ces oeuvres, avec Manet il y a dialogue, on ne regarde pas on entre dans la toile, elles nous y invitent d'ailleurs, Olympia, Victorine du Déjeuner, les portraits, les visages, ils ne sont que signes, taches, couleurs, puis en un instant ils deviennent vivants. J'aime dans la technique de Manet la force de la touche, son mouvement, sa rapidité à poser, brosser la pâte sur la toile, puis vient la simplification, aller à l'essentiel : le torero mort, le fifre...
Et puis ces natures mortes, bouquets, l'asperge... toute en délicatesse...
Pourquoi ne peut-on pas s'approprier ces merveilles en le photographiant ?
Il était presque seize heures à notre sortie du musée, direction la rue de Turenne pour...
...le fameux feuilleté gâteau préféré de ma Dame.
Elle le choisira à la vanille, pour moi ce sera vanille framboise...
.... Alors ? Si j'évoque la force de Manet je dirai que nous sommes là dans la délicatesse dans la légèreté absolue, dans l'impalpable, c'est excellent mais on atteint presque à l'abstrait. Il doit y avoir dans le millefeuilles une dualité entre la légèreté de la crème et le croquant ou plutôt le craquant du feuilletage, là celui-ci est si aérien que nous ne la percevons pas. Mais pas d'inquiétude il n'en est pas resté la moindre miette. Quant aux chocolats goutés avec un thé légèrement fumé des plus suave ils sont incomparables et la boite achetée fut terminée avant la date de péremption. J'oubliais, un éclair solitaire qui s'ennuyait dans la vitrine m'a fait un clin d'oeil, il était intéressant de comparer avec notre essai de midi . Verdict léger avantage à la maison du chocolat, mais tout cela demande une nouvelle étude... à la prochaine expo!
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3 septembre 2010
ESCAPADE AMICALE
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