Pas moins de huit musées occupent le palais, nous avions nos entrées pour la galerie Palatine où sont rassemblé les collections privées des grands-ducs. L'abondance des oeuvres, un accrochage très touffu, parfois sur trois rangées, peut engendrer une certaine saturation, il faut donc aller à l'essentiel, ici encore nous sommes dans un no photo land et la surveillance était si présente, gardiens et caméras que je n'ai pas osé sortir le canon !
Pris sur le web, dans le désordre une sélection de mes coups de coeur.
Les quelques forces restantes furent épuisées a la galerie du costume et au musée de l'argenterie pour uniquement le rez-de chaussée ! Je n'ai pas résisté devant les coupes en lapis-lazuli.
Il était temps de prendre un en-cas, nous nous traînâmes jusqu'à la place de la Seigneurie et son café Rivoire.
Ah! moi aussi je craque littéralement devant le saint Jean Baptiste d'Andrea del Sarto. C'est une des oeuvres les plus puissantes de cette collection! Les époux Doni, en revanche, sont un peu trop crispés, vous ne trouvez pas?
RépondreSupprimerUn merveilleux périple souhaitant que le genou soit à nouveau valide!
RépondreSupprimerpour ma part je prépare le cheminement vers Bologne fin octobre et une petite échapéee via...Venessia. Je n'ai pas pu résister vu la proximité!
Douce semaine
Martine de Sclos
Il faudrait avoir le temps d'y venir et d'y revenir, et d'y retourner encore... car tant de merveilles d'un seul coup, on frôle comme tu le dis, la saturation. Les peintures que tu as choisies sont de tels chef d'oeuvres qu'on est frustré de les "parcourir"... quant au lapis lazuli, c'est toujours tellement surprenant et magique !! tu as bien fait de "tricher"... et ton genou, dans l'histoire, il n'a pas dû s'améliorer !!
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup de retard ici!
RépondreSupprimerCela me rappelle une année où nous trouvions à Séville en plein pendant le marathon et chose incroyable il neigeait ce jour là!
Florence au programme pour dans....
3 ou 4 ans je pense car nous allons remonter toute l'Italie peu à peu
Ce qui m'inquiète justement à Florence c'est comme tu le dis la saturation
Mais allons ne nous plaignons pas la bouche pleine