20 mars 2015

Le jour de l'éclipse.

Annoncée presque totale, pour nous elle fut complètement invisible !
Les seuls à se frotter les mains et les yeux sont les fabricants et vendeurs de lunettes spéciales... à ranger jusqu'en 2080 on a le temps d'ici là de s'éclipser !
Alors, peut être est-ce le bon jour pour que ce blog lui aussi s'éclipse : quand l'envie et le plaisir ne sont plus présent ne vaut-il pas mieux s'absenter...
Peut-être... le soleil revenant... QUE SERA SERA....



14 commentaires:

  1. Quand l'envie et le plaisir ne sont plus là, que faire pour les raviver ? Grande question petites réponses... Poursuivre, ne pas lâcher, tenir bon, s'accrocher, retrouver des forces intérieures, même petites...

    Allez Robert ni vous ni moi ne seront là en 2080 tournons-nous vers les choses du présent qui ne pèsent pas, qui soulagent qui font plaisir...

    Vous trouverez j'en suis presque sûre. Le soleil revenant...

    Bises du jour Robert.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Danielle merci pour vos encouragements, tout ne peut être beau et bon mais profitons de la vie !
      Demain nous partons à Venise il n'y a pas de meilleur remède à la morosité.

      Supprimer
  2. Un peu... de temps en temps....juste pour le plaisir des zamis!
    Baci d'en bas
    Mamina de Sclos

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui Martine, c'est le problème, s'habituer à "un peu" et à "de temps en temps" !!!!!
      On boucle les valises pour une semaine à Venise histoire de reprendre des forces... on passera par le Vecio Canton
      Bises d'ici et de là-bas

      Supprimer
    2. Je pense très fort à vous deux....profitez de la Sérénissime, elle saura vous le rendre!

      Supprimer
  3. C 'est dommage...Lectrice silencieuse,j'aimais bien venir faire un petit tour chez vous.Peut-être un jour l'envie reviendra,je passerai de temps en temps.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Marie-Claude merci de m'encourager Au fond " l'à quoi bon " est une trop mauvaise pente alors à bientôt.

      Supprimer
  4. Temps d'un gris persistant ici aussi. De toutes façons j'étais en cours et je n'avais pas de lunettes !!!
    On espère juste qu'il fera un peu meilleur pour la "grande marée du siècle" !!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah Nicole un début d'année épouvantable pour nous alors, le blog !! bien des choses sont passées à la trappe tu t'en es rendue compte....

      Supprimer
  5. Lors des syzygies équinoxiale, les marées comme les décisions ont une plus grande amplitude,

    To one who has been long in city pent,
    ’Tis very sweet to look into the fair
    And open face of heaven,- to breathe a prayer
    Full in the smile of the blue firmament.
    Who is more happy, when, with hearts content,
    Fatigued he sinks into some pleasant lair
    Of wavy grass, and reads a debonair
    And gentle tale of love and languishment?
    Returning home at evening, with an ear
    Catching the notes of Philomel,- an eye
    Watching the sailing cloudlet’s bright career,
    He mourns that day so soon has glided by:
    E’en like the passage of an angel’s tear
    That falls through the clear ether silently.

    mais s' il y a marée haute, il y a aussi marée basse.
    A bientôt de vous lire.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Keats en fait était un hippy avant l'heure !!!!!
      Un petit tour à Venise pour retrouver après le balancement horizontal de la marée celui vertical du vaporetto.

      Supprimer
  6. On va regretter ces petits rendez-vous ! C'est vrai que l'on a parfois "La tentation de Venise"...
    Avec les beaux jours, parfois, l'envie de republier revient !
    Donc, à très bientôt, on l'espère !
    Amitiés !

    RépondreSupprimer
  7. Et oui tentation bien réelle puisque nous partons demain !
    on fera le point au retour en espérant y avoir repris le punch qui me manque en ce début d'année.
    Amitiés sans oublier Norma.

    RépondreSupprimer
  8. Bon voyage Robert, bonne reprise d'espérances avec Venise.

    Bien cordialement à vous.

    RépondreSupprimer